SEUL· TOU
Festival de seul·es en scènes
Vous pourrez assister
aux performances de :
LA MADONE DES ÉGOUTS - Laure Rossi
CONCERT D'OUVERTURE - Cœur
SEPT SECONDES D’ÉTERNITÉ - Aurélie Pitrat
LA BRILLANTE - Lou Bernard-Baille
CE QUE J’AURAIS VOULU (QUE J’AIMERAIS)
QUE LE CIEL ME DISE - Arnaud Guennad
MASCARADE - Leïla Brahimi
À TOUT CE QUI ATTEND - Arthur Fourcade
DES FLEURS - Grégory Bonnefont
SEUL·TOU revient cette saison pour une deuxième édition.
Ce festival dédié aux seul·es en scène met en lumière le travail d’artistes de tout horizon. Cette saison, ce sera trois semaines consécutives, du lundi au samedi, avec à l’affiche sept seul·es en scènes, reprises et créations théâtrales en tout genre.
À découvrir seul·es ou accompagné·es !
Le jeudi 6 février à 19h30, nous proposerons une rencontre autour des questionnements que soulèvent l’élaboration et la pratique des seul·es en scène.
LE BON PLAN :
Formule spéciale festival : 3 spectacles pour 25€ et 5 spectacles pour 40€
Au programme :
Le solo sacro-dégueulasse de la vraie Mère de JC.
Je suis la sœur de la Vierge Marie. Je suis la mère biologique de Jésus. Dieu – Le Poisson – a forniqué avec moi il y a 2024 ans. Mais il a eu honte et m’a plongé dans les égouts.
Entertaining emotional diva hardcore.
Voix charnelle et rageuse, Cœur fait vivre une écriture poétique qui refuse de choisir entre violence et douceur, entre force et fragilité.
Un monologue de Peter Turrini inspiré par la vie d’Hedy Lamarr.
La pièce s’ouvre sur une séquence de 7 secondes : l’extrait du premier film grand public où une actrice apparaît nue sur grand écran. Ce nu, entré dans l’histoire du cinéma, c’est elle : la femme qui nous parle.
Alexandrins et diabolo grenadine.
C’est l’histoire d’une rencontre entre un personnage, Phèdre, du grec phaídra,
« brillante », et une actrice, Lou. Se prenant de passion pour la pièce de Racine, elle cherche, encore et encore, à faire vivre les mots de cette amoureuse débordante.
Une histoire d’amour sans écoute, sans autrui, sans amour.
Dans son atelier tous les soirs, IL, un garçon aux grands idéaux, vient jouer en boucle les mêmes scènes : celles de son histoire d’amour avec Gabriel·le, un mannequin qu’il a construit pour les besoins de son récit.
Objet instable et baroque qui se demande que faire de notre colère…
…Et notre temps est un temps de colères.
Cela ressemblera peut-être à un concert punk, mené par la Pythie de Delphes. Une Pythie oubliée dans une grange et qui, entre costumes, perruques et maquillages, invoque les âmes des minoritaires, des « en marge ».
Un emboîtement d’œuvres d’art pour s’échapper du labyrinthe de la solitude.
Seul dans les profondeurs insondables d’une caverne souterraine, votre tâche consiste à attendre le réveil de votre roi… pendant 400 jours.
C’est ainsi que commence À tout ce qui attend.
Une conférence introspective sur la paix mondiale.
Charlie est une personne porteuse de déficience intellectuelle à qui on propose de participer à une expérience scientifique d’augmentation de l’intelligence. L’opération réussit, et son intelligence commence à s’élargir. Devant lui le monde s’ouvre. Sa complexité se déploie. Sa beauté. Sa cruauté.