LE PETIT BOIS
Lucas Chérubin
© Antje Schur
MISE EN SCÈNE Michel Cerda
JEU Lucas chérubin
SCÉNOGRAPHIE Antje Schur
« C’est inscrit sur aucune carte, les vrais endroits ne le sont jamais. », Hermann Melville.
Un matin d’automne pas comme les autres.
C’est le jour de l’arrivée des forains pour la fête du village.
Lui, trop grand dans son corps pour pouvoir faire encore du manège. Il reste là à regarder, il a peur du silence, il parle seul et à d’autres à défaut de quelqu’un d’autre. Des images lui reviennent, des retours de rêve, des comptines et des proverbes, gestes infimes, cela n’arrête jamais de tourner comme les manèges de la fête et les roues de son vélo, son destrier quotidien pour battre la campagne.
On entend les paroles d’un « pas fini, pas bien cuit ! ».
Un véritable tourbillon sonore qui réactive un drame qui s’est produit à la même période quelques années auparavant…
Durée : 1h
Durée : 1h
« C’est inscrit sur aucune carte, les vrais endroits ne le sont jamais. », Hermann Melville.
Un matin d’automne pas comme les autres.
C’est le jour de l’arrivée des forains pour la fête du village.
Lui, trop grand dans son corps pour pouvoir faire encore du manège. Il reste là à regarder, il a peur du silence, il parle seul et à d’autres à défaut de quelqu’un d’autre. Des images lui reviennent, des retours de rêve, des comptines et des proverbes, gestes infimes, cela n’arrête jamais de tourner comme les manèges de la fête et les roues de son vélo, son destrier quotidien pour battre la campagne.
On entend les paroles d’un « pas fini, pas bien cuit ! ».
Un véritable tourbillon sonore qui réactive un drame qui s’est produit à la même période quelques années auparavant…