carte blanche à nicolas ramond
création collective mise en scène :
Nicolas Ramond
jeu :
Anne de Boissy et Jean-Philippe Salério
lumières et scénographie :
Yoann Tivoli
musique et son :
Sylvain Ferlay
collaboration dramaturgie :
Claire Terral
collaboration chorégraphique :
Annette Labry
collaboration orthophonique :
Mari-line Chef
Le projet s’est aussi écrit avec les poèmes : « Et pourtant chaque matin » et « Comme tout le monde » de Thomas Vinau du recueil Bleu de travail ‘Ed. La Fosse aux ours), « Amortir la chute » de Marlène Tissot (Ed. Le Pédalo Ivre), « Le poisson » de Bruno Gibert, extrait de son livre Réussir sa vie (Ed. Stock).
co-production :
Grand Angle, Scène Régionale Pays Voironnais
avec le soutien :
Théâtre National Populaire – Théâtre Nouvelle Génération – Théâtre de la Renaissance – NTH8 / Nouveau théâtre du 8e
aides à la production :
DRAC / Région Auvergne-Rhône-Alpes
Variations sur l’échec.
Que faire de nos échecs ? Le thème d’un spectacle, ou plutôt son thème avec variations, sa matière. La marche est un apprentissage par la chute ; tout pas en avant est une dégringolade rattrapée. Sondant leurs vécus en quête de ces déceptions fondatrices et désespérément drôles, les artistes entraînent joyeusement le public dans leur recherche du plus bel échec, mêlant chants inchantables, danses chaotiques et souvenirs d’école. Avec poésie et humour, ils travaillent à suspendre l’instant de déséquilibre où tout bascule, glisse et prend une direction nouvelle. Echouer et réussir au final : tel pourrait être l’objectif de ce spectacle. Ça marchera jamais… Et pourquoi pas ?