texte :
Sandrine Roche
avec:
Marion Aeschlimann, Alizée Bingöllü, Sonia Delbost-Henry, Etienne Gaudillère, Philippe Labaune, Marion Lechevallier, François Leviste, Nicole Mersey, Jonathan Peronny, Elsa Rocher
Texte publié aux Editions Théâtrales
Lauréat des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre 2011
Avec les soutien du Geiq-Théâtre et des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre
« J’écris sur le rapport physique que l'homme entretient au monde ; sur la marge de manœuvre singulière et autonome dont l’individu dispose au sein d’une communauté ; sur les limites et paradoxes des libertés individuelles et collectives (…) Je cherche une forme qui donne la mesure de la violence et de la force physique de la langue, qui la mette en abîme, l’interroge. Une forme qui provoque l'imaginaire du spectateur en insufflant une série de sons, images, mouvements… »